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Louis Ghysebrechts, sérigraphie No. 60/75, signé au crayon. Titre : Mécanique Solidifiée No. 60/75 Année 1978 Format papier : 40 x 30 / image : 24 x 19. Etat : En excellent état
Le pararéalisme de Louis Ghysebrechts. "Le plan est plein de signes magiques, il y a des portes ouvertes sur des mondes multidimensionnels, il y a l'œil qui se voit lui-même et aussi les choses qui se trouvent au-delà de l'horizon immédiatement reconnaissable." Lorsque W. de Bruijn, à la suite d'une exposition à Venlo en 1966, caractérise l'art de Louis Ghysebrechts par ces mots, il prévoit pour ainsi dire comment Ghysebrechts évoluera dans le futur. Ghysebrechts n’expose alors que des peintures, des dessins et des monotypes. Il a ensuite changé de médium. L’arrière-plan décrit dans le paragraphe d’ouverture est non seulement resté inchangé, mais il s’est en même temps, comme dans des cercles concentriques, élargi et approfondi, condensant énergiquement son noyau.
Entre 1967 et 1972, Ghysebrechts (Hasselt, 1932) expose principalement des collages, qu'il compose à partir du matériel de base le plus courant : des coupures colorées d'illustrations, des déchets de lecture et de visualisation destinés au grand public. Traduit dans une constellation étonnamment nouvelle,